Question :
Bonjour,
Je fais construire une seconde petite maison (80m2) sur mon terrain en limite de propriété. La maison sera implantée en contrebas par rapport au terrain naturel de ma voisine du fond, ce qui veut dire que le rez de chaussée de la maison sera enterré sur le mur du fond et à moitié sur le pignon droit également en limite.
Question : ces 2 murs en questions doivent-ils être en bloc à bancher automatiquement autrement dit en parpaing pleins ? L'artisan qui a commencé les travaux me dit que des briques même vides suffisent. Pouvez vous m'aider ?
Commune concernée : CORMEILLES EN PARISIS
Réponse :
Si votre mur doit retenir la poussée des terres, il est en effet souhaitable de construire un mur en blocs béton à bancher avec une base suffisamment stable et assez solide pour résister à la pression.
Vous pouvez vous faire accompagner d'un bureau d'étude structure pour vous accompagner dans le dimensionnement et la prescription technique de cette ouvrage. Votre cahier des charges des travaux aurait dû prescrire une note de calcul à l'entreprise.
Ce conseil est donné à titre indicatif au vu des éléments fournis et ne présente aucune valeur juridique.
Publié le 14/02/2017
Les conseils des CAUE ne sont donnés qu’à titre indicatif et au vu des éléments fournis par le particulier. Ces conseils ne peuvent en aucun cas servir de preuve.
Cette réponse n’a pas de valeur juridique.
Dans le cadre du concours Habiller les palissades du chantier Notre-Dame, le CAUE de Paris propose des visites aux étudiants, afin de favoriser la compréhension des différents sites et de nourrir leurs imaginaires.
Dans le cadre du concours Habiller les palissades du chantier Notre-Dame, le CAUE de Paris propose des visites aux étudiants, afin de favoriser la compréhension des différents sites et de nourrir leurs imaginaires.
Le CAUE de Paris, la Direction Constructions Publiques et Architecture, et la Mairie du 18ᵉ arrondissement vous proposent de découvrir le chantier de la piscine Belliard.
Nos villes, peu accueillantes pour le vivant, contribuent à une forme d'amnésie environnementale qui nous coupe de notre lien à la nature. Il devient urgent de rétablir ce lien pour mieux comprendre et protéger la biodiversité.
Comment l’éducation, la science et la culture façonnent-elles notre rapport au vivant ?
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Comment mieux partager nos territoires avec la faune et la flore sauvage ? Faut-il sanctuariser certains espaces ou réapprendre à vivre avec le spontané ?
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